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Conférence - Page 5

  • Conf Nouvelles formes de financements, le 19 sept 2012

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    Pourquoi et comment les PME/ETI peuvent-elles aller vers de nouvelles sources de financement ? Débat organisé le 19 septembre 2012, par le Groupement HEC Finance d’entreprise chez Cabinet Clifford Chance

    Thomas Salvadori, membre du Bureau du Groupement et modérateur de ce premier débat sur le sujet, consacré plus particulièrement aux Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI)[1], avait réuni autour de lui Caroline Weber, directrice générale de l’Association Middlenext, Frédérick Lacroix, avocat associé, responsable de la pratique Financial Services du cabinet Clifford Chance, Bruno Dathis, directeur administratif et financier du groupe SAFT, et Thierry Schmidt de la Brélie, directeur administratif et financier du groupe Touax.

    En ouverture du débat, Thomas Salvadori a relevé que le crédit bancaire classique devient de moins en moins accessible aux ETI en raison des contraintes imposées aux banques par la mise en œuvre de la régulation Bâle III. Parallèlement le marché primaire obligataire leur est d’accès difficile, et celui des capitaux propres pratiquement fermé : la Bourse ne joue plus en effet son rôle d’apporteur de capitaux, comme l’a mis en évidence le Rapport récemment établi par MM. Gérard Rameix et Thierry Giami (878 sociétés cotées à Paris en 1978, 794 en 2001, 688 en 2010…).

    Sur ce dernier point, Caroline Weber a fourni plusieurs explications. Son association, Middlenext, qui regroupe 150 entreprises adhérentes et se consacre à leur représentation auprès des différents acteurs du monde financier et mène diverses études sur le sujet de leur financement, a observé que l’apparente inanité de la Bourse a fait l’objet ces dernières années de quatre rapports officiels (dont le dernier émanant de Gérard Rameix comme précité). Mais, ceci sans résultat véritable, du moins en ce qui concerne les trois premiers.

    Le fait que notre Bourse nationale soit passée sous le contrôle de celle de New-York peut expliquer le peu d’enthousiasme qu’elle manifeste pour l’admission à la cote de sociétés nouvelles de taille moyenne : ainsi, il n’y a plus, au sein de NYSE-Euronext, que 3 agents chargés de la prospection sur le terrain, là où il y en avait autrefois 60 ! En parallèle l’opérateur de bourse a augmenté (plus que triplé) les tarifs de courtage des valeurs moyennes pour les brokers, qui ont, en conséquence, de plus en plus tendance à s’écarter de ce marché. Et les analystes spécialisés en valeurs petites et moyennes ont presque disparu. Egalement, les coûts de documentation et de cotation ont littéralement explosé : un prospectus de cotation (300 pages aujourd’hui en moyenne, contre 40 dans le passé) revient désormais à près d’un million d’euros ;
    le coût complet de cotation pour une valeur moyenne est passé de 200 000 francs par an autrefois à 600 000 euros aujourd’hui.

    Les exemples étrangers montrent pourtant qu’il est possible de faire fonctionner de manière rentable des marchés boursiers consacrés à de telles valeurs. En Allemagne, les cinq bourses régionales sont actives et bénéficiaires. Il y a aujourd’hui plus de 80 personnes sur le terrain pour accompagner les valeurs moyennes. En Finlande, la bourse d’Helsinki, confrontée à la concurrence très vive du NASDAQ, qui a établi sa tête de pont européenne dans ce pays, a monté une joint-venture avec la bourse de Stuttgart pour coter les petites et moyennes valeurs finlandaises.

    En fait, pour remédier à cette situation, il s’agirait d’alléger les procédures d’accès au marché pour ces valeurs. Il faudrait également inciter les compagnies d’assurance à changer d’état d’esprit : 1% de l’encours des réserves mathématiques de l’Assurance-vie suffirait à satisfaire les besoins de fonds propres de ces entreprises. Et la création d’un PEA consacré à l’investissement dans les ETI pourrait compléter harmonieusement cet ensemble de mesures.

    A l’appui, Caroline Weber cite la mise en place en cours de Micado France 2018 (« Micado »), un Fonds commun de placement dédié aux ETI, créé à l’instigation de Middlenext, Accola et Investeam : les frais d’avocat et de brokers sont ainsi mutualisés, mais chaque société participante conserve sa propre note de crédit ; les financements obtenus par ce moyen devraient avoir une durée de 6 ans, et les charges d’intérêt se situer entre 4 et 6%. Elle mentionne aussi l’existence de l’indice GAIA, construit à partir des données communiquées par 250 sociétés, dont 80 ont des performances financières qui surclassent celles du CAC 40. Sans omettre la possibilité de faire renaître les emprunts groupés de jadis.

    Pour sa part, Frédérick Lacroix reconnait effectivement l’alourdissement des règlementations. Les textes européens (Directives Prospectus, Transparence, MIF, toutes les trois, de surcroit, en cours de révision), constituent un faisceau de contraintes extrêmement lourdes.
    Les régulations Bâle III, pour les banques, et Solvabilité II pour les assureurs vont conduire les unes et les autres à réduire drastiquement leurs interventions en faveur des ETI (les banques en termes de crédits, et les assureurs en actions). Mais le discours sur la titrisation, si décriée depuis la crise des sub-primes et le "shadow banking", commence à évoluer : Micado est peut-être un précurseur de cette évolution ; à terme, à côté du marché obligataire traditionnel plutôt adapté aux grands émetteurs, on voit émerger des fonds de dettes, certes d'abord dédiés aux financements immobiliers et d'infrastructures (Axa CRE1, Natixis AM/AEW SELF,
    etc.) mais plusieurs projets de création de fonds dédiés aux dettes des ETI et PME sont actuellement en cours, ainsi qu'un marché de dettes « repackagées », dans le cadre de la résurgence et la généralisation du modèle "originate to distribute" au sein des banques ; et puis, on peut espérer voir se développer des techniques de prêts obligataires directs souscrits par un ou plusieurs investisseurs non bancaires, à l’instar de ce qui se pratique déjà en Allemagne avec les Schuldschein.

    Présentant l’expérience de SAFT sur le marché du Private Placement aux Etats-Unis (l’USPP), Bruno Dathis, explique que sa société, cotée depuis 2005, a un fort endettement. Le refinancement de sa dette, en février 2009, avait été opéré sous forme de crédits bancaires : l’opération, d’un montant total de 330 millions d’€ (dont 240 millions de $) avait été longue et plus difficile à monter que par le passé, le financement obtenu cher (notamment en terme de commissions), et d’une maturité
    réduite à trois ans. Ce qui a incité la société à diversifier ses sources de financement, en recherchant des maturités plus longues, et avec des concours exprimés en $ (80% du chiffre d’affaires est en effet réalisé à l’exportation).

    Le processus de l’émission en USPP s’est déroulé sur trois mois. Les quatre à six premières semaines ont été consacrées à l’élaboration de la documentation. Ici, deux surprises : aucune donnée prévisionnelle n’avait besoin d’être fournie dans le « Private Placement Memorandum » destiné aux assureurs et investisseurs professionnels sollicités ; et le contrat d’émission est standardisé, laissant peu de place à la négociation des termes (prise en charge par les avocats des deux parties, intervention directe de l’émetteur). Le troisième document, la note de présentation, sert de support aux Road-Shows : ces séances de présentation aux investisseurs se sont déroulées aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne (à destination, en particulier, de filiales britanniques d’assureurs américains) et en France ; aux Etats-Unis, 7 villes ont ainsi été visitées, et 35 investisseurs rencontrés en trois jours.

    Dix des investisseurs rencontrés ont proposé de souscrire, pour des « tickets » entre 10 et 75 millions de $ chacun, à des prix exprimés en marge par rapport au taux des Treasuries de durée équivalente. Au total, le montant proposé était bien supérieur aux 100 millions de $ visés par SAFT (50 millions à 7 ans et 50 millions à 10 ans).

    Après négociation, les taux ont été fixés à 4,26% pour la tranche à 7 ans (300 points de base au-dessus des Treasuries), et 4,73% pour celle à 10 ans (290 points de base au-dessus des Treasuries). Les coûts d’émission ont été de 0,65%, SAFT ayant choisi de recourir aux conseils de trois banques. Aucune notation à l’initiative de l’émetteur n’a été nécessaire : la seule notation requise, celle de la National Association of Insurance Companies (NAIC), est établie à la demande des assureurs souscripteurs eux-mêmes (celle-ci intervient huit à douze mois après l’émission).
    Certes, les titres émis ne sont pas contractuellement remboursables par anticipation, et une renégociation des termes du contrat serait très coûteuse.
    Mais en définitive, l’opération n’aura guère été plus compliquée à réaliser qu’un refinancement bancaire. Et puis, SAFT s’est ainsi dotée d’une base élargie d’investisseurs à long terme.

    L’expérience de Touax décrite par Thierry Schmidt de la Brelie, est précisément celle d’un participant au fonds Micado évoqué plus tôt par Caroline Weber. Touax réalise 300 millions d’€ de chiffre d’affaires. Son activité, la location et la vente de matériels (respectivement 200 et 100 millions d’€ de chiffre d’affaires-conteneurs maritimes, constructions modulaires, wagons fret, barges fluviales), est très consommatrice de financements longs : le parc se monte à quelque 1,5 milliards d’€, et la société a connu ces dernières années une croissance importante, fondée sur une moyenne de 50 millions d’€ d’investissements par an.

    Les actions Touax sont cotées en bourse depuis 1906, et la société a procédé à des émissions d’actions en 2004, 2007, 2008 et 2009. Compte tenu de la baisse des cours de l’action, la capitalisation de la société est aujourd’hui de moins de 150 millions d’€, et la liquidité du titre est trop faible pour envisager de nouvelles opérations de l’espèce.

    La plus grande partie des dettes (300 millions d’€ au total) est de type bancaire bilatérale, bilatérale collatéralisée, ou syndiquée (collatéralisée ou non). La société a également émis des Obligations à Bons de Souscription d’Actions Remboursables (OBSAR) sous forme de « club deal ». Certains matériels destinés à la location sont aussi financés en leasing, d’autres font l’objet de contrats de portage par des investisseurs.

    En matière de désintermédiation, Touax avait réalisé une première expérience en obtenant d’un investisseur non bancaire 22 millions de $ destinés à financer des actifs sud-américains.

    Cependant, depuis la crise, la société est confrontée à une diminution des maturités proposées pour ses types de financements habituels, à la hausse des coûts de liquidité bancaire, à la pénurie de dollars subie par les banques européennes : cet ensemble de facteurs risquait de renchérir sensiblement les coûts de financement (jusqu’alors 3,75% en moyenne) ; à titre indicatif, une émission obligataire de 200 millions d’€ lui avait été proposée avec un taux prévisible de 9% l’an (outre le fait que Touax ne cherchait pas à lever plus de 50 millions d’€). Et, l’émission de titres de type obligations convertibles ou océanes aurait posé un problème de dilution des actionnaires existants.

    Le projet Micado, en groupant en une même souche de 300 millions d’€ des emprunteurs de montants individuels de 10 à 50 millions d’€, a constitué une solution appropriée. Même si le délai de réalisation a été considérablement long (selon Caroline Weber le prospectus déposé à l’AMF en mai, n’a obtenu son visa qu’en février de l’année suivante), l’émission permet d’obtenir des financements à six ans, sans notation ni « covenants », à un coût « all-in » entre 5 et 7 %.

    Concluant ces exposés, Frédérick Lacroix a insisté sur la nécessité d’exploiter tous les segments possibles de marché.
    L’USPP se compare en fait au Schuldschein allemand, bien qu’à la différence du premier, le second ne nécessite pas d’agent de l’émission (dans le cas de l’USPP, l’agent assure l’unicité du contrat et l’uniformité des clauses qu’il comporte) : chaque souscripteur du Schuldschein (en général des assureurs ou des caisses d’épargne) est à aborder distinctement, et les termes de la tranche à laquelle il souscrit à mettre au point en fonction de ses desiderata ; des clauses de remboursement anticipé au gré de l’emprunteur peuvent théoriquement être stipulées avec certains souscripteurs, bien qu’en général ceux-ci sont plutôt de type « Buy and Hold ». Micado peut constituer une voie supplémentaire de diversification.

     

    A noter que, dans le monde de l’assurance, la transition de Solvabilité I à Solvabilité II risque de constituer une entrave supplémentaire au développement des fonds de dettes : dans le cadre de Solvabilité I, les fonds de dettes créés jusqu'à présent rentrent au mieux dans le fameux « ratio poubelle », à défaut d'un traitement plus optimisant (par exemple au travers de l'émission d'obligations cotées sur un marché réglementé par le fonds de dettes, ce qui n'a pas été fait jusqu'à présent en raison de contraintes spécifiques posées par l'Autorité de Contrôle Prudentiel) ; avec Solvabilité II, dont l'entrée en vigueur est sans cesse repoussée (on parle à présent de 2015), la philosophie devrait être radicalement différente, car le projet de texte d'application (niveau 2) prévoit la possibilité de traiter par transparence l'investissement de l'assureur dans le fonds, ce qui rend la forme du fonds relativement indifférente, pour autant toutefois que ce dernier ne soit pas analysé comme un véhicule de titrisation au sens de la directive sur les fonds propres des banques. La nécessité de structurer des fonds compatibles avec les exigences de Solvabilité I et Solvabilité II durant cette période transitoire ne favorise actuellement donc pas la création d'un marché important des fonds de dettes placés auprès des assureurs.


    Par Jack Aschehoug (H. 72)

  • Comm fi et valeur d'entreprise, le 22 mai 2012

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    Publié dans Hommes et commerces :

    Une cinquantaine de participants ont assisté le 22 Mai dernier dans les locaux du cabinet Salans à Paris (que nous remercions chaleureusement pour son accueil) à une conférence sur le thème « communication financière et valorisation d’entreprise ». Jack Aschehoug (H 72) animait le débat entouré de Pascal Bantégnie, directeur des relations investisseurs du groupe Safran, Eric de Bodard (H 72), directeur général délégué de Moody’s France, Pierre Nebout, gérant de portefeuille chez LCF-Rothschild et Muriel Goldberg Darmon avocate au  Cabinet Salans.

    Les principaux points abordés ont été les suivants :

    1° La  communication financière = contrainte ou politique ?

    Historiquement la « comfi » a d’abord été une contrainte règlementaire obligeant les sociétés cotées en Bourse à publier régulièrement leurs comptes ; la fonction n’a vraiment pris son essor que dans les années 90 = vague de M&A, essor des marchés financiers et des agences de notation, souci de mieux valoriser l’entreprise … des départements spécialisés ont donc été créés dans les grands groupes (taille 3 à 15 p.)

    Il y a donc une politique volontariste assumée par les grands groupes, toutefois de fortes contraintes pèsent encore sur la fonction car la réglementation est de plus en plus lourde.

    2° La  communication financière = simple information ou story telling ?

    Le bon équilibre des messages de « comfi » est délicat à trouver :

    La « comfi » doit adapter son discours aux différents interlocuteurs : grand public, presse, analystes financiers , investisseurs, agences de notation … tout en garantissant la bonne cohérence et l’égalité de traitement (pas d’information privilégiée) sans divulguer d’informations trop sensibles , la « comfi » doit valoriser la cohérence de la stratégie retenue par l’entreprise ; un argumentaire détaillé est donc nécessaire, la langue de bois doit être évitée à tout prix

    3° Les principaux outils & moyens de communication financière

    La « comfi » à ses débuts s’appuyait essentiellement sur les communiqués de presse et la réunion de l’AG annuelle

    Les medias ont accompagné la mondialisation des marchés et on privilégie désormais le site WEB, les « roadshows » avec les investisseurs  (Londres, New York…) et des réunions périodiques groupées avec les analystes financiers qui suivent la valeur

    Les réunions «1 to 1» sont aussi possibles par ex avec une agence de notation, mais il faut prendre garde au risque de délit d’initié qui pourrait déclencher une enquête de l’Autorité des Marchés Financiers !

    4° Comment gérer au mieux les « mauvaises nouvelles » ?

    Une « bad news mal annoncée » peut déclencher une spirale baissière terrible car le management perd alors toute crédibilité vis à vis des opérateurs financiers qui ont horreur d’être cueillis à froid !

    Il faut surveiller régulièrement le « consensus du marché » (moyenne des estimations de résultat des analystes financiers) qui doit rester proche des prévisions de l’entreprise

    La révision en baisse des notes des agences de notation qui naguère déclenchait de grosses paniques est maintenant beaucoup mieux encadrée (phase de mise en surveillance, délai d’avertissement de 12 h…), ce qui permet de mieux préparer la « comfi »

    Conclusion des intervenants / questions de l’assistance

    Malgré une réglementation accrue il reste encore des zones grises , donc l’entreprise doit conserver une grande traçabilité de sa « comfi » plusieurs années en arrière en cas d’enquête, la documentation doit donc se préparer en temps réel !

    Il faut privilégier la cohérence « long terme » des messages et donc échapper à la « comfi » trop court terme 

    Le PDG est leader de la « comfi », il  y consacre en général un temps important (en particulier, au moins 10 j /an rien que pour les roadshows) ; pour le DF le suivi est quotidien (cours de bourse, presse, analystes) en liaison avec son équipe 

    La « comfi » est également de plus en plus utilisée en interne (réunions de management…)

  • Live Tweet de la manifestation "Actu emploi" du 11 avril 2012

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    @sbretones : Actu du marché de l'emploi en finance d'entreprise : crise ou pas crise ? C'est mnt sur le fil @HEC_FE. #HECFE

    @HEC_FE : Actualité de l'emploi dans la finance d'entreprise à l'association HEC ce matin avec 4 professionnels

    @sbretones @HEC_FE : Lancement de la conf "actualité de l'emploi en finance d'entreprise : crise ou pas crise". #hecfe. Veronique Ehrhard on stage, anime débat.

    @HEC_FE : En présence de Michael Page, Enjeux et dirigeants, Transitions plus, et Danone

    @HEC_FE : Les secteurs qui recrutent le plus en finance d'entreprise: industrie, activités informatiques, e-commerce

    @HEC_FE : En 2012, le marché est légèrement supérieur pour la finance d'entreprise qu'en 2011. Michael Page

    @HEC_FE : La priorité est au recrutement de profils"seniors" 5 à 20 ans d'expérience

    @HEC_FE : Pénurie dans les métiers techniques : consolidation, trésorerie, analyse financière d'entreprise (business plans, modélisation)

    @HEC_FE : Des opportunités aussi en Bid Management, contrôle de gestion industriel et contrôle de gestion projets selon Michael Page

    @sbretones : Les candidats "plug and play"... ie, Entre 5 et 20 ans d'expérience. Je me demande si cela intègre un peu de clonage .... #HECFE

    @sbretones : Selon M. Page : les métiers pénuriques auj. en FE : la consolidation, la tréso, l'analyse fi. #HECFE

    @sbretones : Aussi métiers proches des opérations : Contrôle gestion industriel, projet, program, bid mgt. Pb : financiers peu mobiles province. #HECFE

    @HEC_FE : Le cash et la maîtrise des systèmes clés dans les compétences techniques attendues

    @HEC_FE : Des recrutements de financiers d'entreprise en permanence mais avec une concurrence très forte les entreprises ont le choix...

    @HEC_FE : La meilleure façon de trouver un job en FE, l'approche réseau

    @HEC_FE : Des opportunités pour les 35-40 ans davantage que pour les cadres dirigeants

    @HEC_FE : Les "seniors" >50 ans trouvent majoritairement par le réseau

    @HEC_FE : La conférence de ce matin c'est aussi comment garder son job #hecfe

    @HEC_FE : Les situations de crise quand on est en poste : la stagnation, la surpression (burn out) #hecfe

    @HEC_FE : Gérer une crise de carrière c'est accepter de se confronter à l'inconnu #hecfe

    @sbretones : "Le business partner c'est celui qui connaît les opérations, les métiers de l'entreprise, il y en a finalement pas tant que ça". #HECFE

    @sbretones : De l'attrait de la finance d'entreprise pour de nombreux banquiers en ce moment ... #jdcjdr #hecfe

    @sbretones : Tendance : Du lièvre du candidat externe pour justifier ou valoriser un candidat en interne. #Recrutement. #hecfe

    @sbretones : "La notion de business partner s'applique mnt à toutes les fonctions support". #hecfe

    @HEC_FE : Mieux vaut être hors poste, bien dans ses baskets et chercher un emploi que "mal en poste", en recherche #hecfe

    @sbretones : Ce matin, j'ai pas pu finir mon LT #HECFE, alors voilà la suite .... Quel %age de clonage dans le profil ideal du candidat "plug & play" ?

    @sbretones : Réponse : fonction du métier en FE. Pour un CFO, en ce moment, c'est dur de changer de secteur .... #HECFE

    @sbretones : Et pour un expert, c'est dur de changer d'expertise, mais pas de secteur, surtout si profil pénurique .... #HECFE

    @sbretones : Et pour les postes type COG projet /grands programmes ... profils plus généralistes, polyvalents, c'est assez ouvert #HECFE

    @sbretones : "CV n'est pas un job description, il doit parler de vos réalisations, refléter vos singularités". Johann van Nieuwenhuyse @michaelpagefr

    @HEC_FE : Merci à Johann van Nieuwenhuyse Manager Senior Practice Finance de @michaelpagefr, Lise-Marie Grandjean associée Enjeux et dirigeants 1/2

    @HEC_FE : Merci à Domitlle Tézé, Fondatrice Transition +, Claire Fradet, DRH fonction Finance & Juridique Danone pour leurs témoignages #HECFE

     

  • "Cash is King", avec Philippe Messager, le 23 novembre 2011

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    « Cash is king »  Un métier au cœur des préoccupations actuelles des entreprises : Trésorier

    Le cash est un des baromètres les plus révélateurs de la santé financière des entreprises.  Dans la conjoncture actuelle et sous la pression accrue des agences de notations, c’est l’ensemble de la communauté financière qui se penche sur les sujets de liquidité et d’accès au crédit.

    Dans ce contexte Philippe Messager (H. 80), Directeur des Financements et de la Trésorerie de EDF et Président de l’AFTE (Association Française des Trésoriers d’Entreprise), partagea son expérience et ses préoccupations. 

    Il parla du métier de Trésorier d’Entreprise: son évolution et ce qu’il recouvre aujourd’hui, son rôle au sein de la Direction Financière, sa contribution au déploiement de la stratégie de l’Entreprise, ses enjeux au regard de la crise actuelle et des nouvelles règlementations

     

  • Lancement de Fi+ Alumni, 12 octobre 2011

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    Nous avons lançé le 12 octobre dernier, Fi+ Alumni, le Club des clubs des Financiers d’entreprise réunissant la  DFCG (Association des Directeurs Financiers et Contrôleurs de Gestion) et les Clubs Finance des Associations d’Ecoles et Universités de : Audencia, Centrale Paris, Dauphine, Edhec, ESCP Europe, HEC, IAE Paris, INSEAD, ISG, Panthéon Sorbonne, Reims Management School.
    A cette occasion, nous avons débattu sur le thème  "quelle vision ont les dirigeants du rôle et du métier du directeur financier ? " autour de Frédéric Cacheira, PDG du groupe Delsey, Jérôme Grivet, DG de Crédit Agricole Assurances, Louis-François Gombert, DG d'Européenne d'Embouteillage, et  Sandra Le Grand, Présidente Directrice Générale de Canal CE et Vice Présidente de Croissance Plus.

    Nous avions choisi des témoins évoluant dans des secteurs différents, la taille et la maturité de leurs entreprises ou groupes étaient également très variées. Quant aux structures capitalistiques, ces entreprises représentaient un groupe coté, un LBO, une filiale de grand groupe, et une start-up ayant ouvert son capital.

    Nos intervenants reflétaient également une diversité de profils et parcours professionnels, tout autant que de caractères. Quelques idées débattues : Louis-François Gombert confirma à l’auditoire le rôle élargi du directeur financier « au-delà de l’expertise technique dans laquelle on voudrait l’enfermer », alors que Frédéric Cacheira plaça le directeur financier plus en retrait, « en bout de course ». Sandra Legrand souligna quelques difficultés particulières pour le directeur financier de PME : « savoir épouser la courbe d’exploitation, la croissance », savoir « jongler avec la flexibilité et la rigueur », et à propos des financements : « être créatif  (…) pour faire rentrer dans des grilles des concepts qui n’y étaient pas ». Jérôme Grivet évoqua la contribution essentielle du directeur financier à la stratégie, et jugea qu’un « bon directeur financier est dans l’anticipation ».

    Le directeur financier peut-il devenir directeur général ? A cette question, nos intervenants soulignèrent en particulier, la nécessaire orientation client et pour l’attrait pour le management, sachant que manager des commerciaux est très différent du management de contrôleurs de gestion !

     

  • Soirée Financier d'entreprise et réseaux sociaux avec @versac, le 21 septembre 2011

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    HEC_FE : @versac : nous avons impatience de t ecouter ce soir. Que l'onglet de veau soit avec toi :) #rdg#hecfe

    Sbretones : OMW to #HECFE, soiree autour de @versac.

    Sbretones : Ca y est, c'est parti ! Isabelle Loupot, on stage, nous presente @versac. #HECFE

    SophieReynal  : La conférence #HECFE commence avec @Versac sur les réseaux sociaux pour les financiers cc: @Bank_Able @sbretones @vermontjf

    Bank_Able : RT @SophieReynal: La conférence #HECFE commence avec @Versac sur les réseaux sociaux pour les financiers cc: @Bank_Able @sbretones @vermontjf

    Vermontjf : A la manifestation #Hec Finance d'Entreprise - Usage des réseaux sociaux avec Nicolas Vanbremeersh (Versac) http://t.co/fpYkZY1o

    SophieReynal : #HECFE de plus en plus d'injonction pour aller sur les réseaux sociaux, mais ce n'est pas pour tout le monde!!!

    Sbretones : @versac nous dit qu'il a decouvert les blogs après le 11/09/01, alors qu'il cherchait de l'info. #HECFE

    SophieReynal : #HECFE On peut vivre sans réseau social. @versac

    SophieReynal : #HECFE Mais les réseaux sociaux sont largement addictifs... @versac

    Sbretones : @versac avoue avoir ete depasse par le succes de ses blogs politiques. Avec des benefices EXTRAORDINAIRES. #HECFE

    Sbretones : Et au final, @versac a reconnecte ses hobbies persos a sa vie pro. Genial, non ? #usage#reseau#versac

    SophieReynal : #HECFE Être actif sur les réseaux sociaux permet de participer à la vie publique et de constituer un réseau de ressources dense et efficace

    Sbretones : Et oui, vive la force des liens faibles, on ne le dira jamais assez. Les messages CIRCULENT ! #HECFE#versac

    Bank_Able :. @versac nous raconte sa decouverte des blogs, qui l'a mene a creer son blog, puis a la creation de son agence de communication. #HECFE

    vermontjf : Versac est en train d'expliquer à des financiers d'entreprise que les blogues, c'est génial pour la politique :-) #hecfe

    SophieReynal : #HECFE Le web s'est transformé : d'1 vieux centre-ville du Moyen-Âge en un monde civilisé, urbanisé, qui sert des utilisateurs et des usages

    Bank_Able : "Ce qu'on fait sur Twitter change notre relation a autrui" @versac#HECFE

    Bank_Able : "Ce qu'on emet c'est de la mediatisation de soi" @versac#HECFE

    SophieReynal : #HECFE Le web permet une nouvelle sociabilité : pour l'ado, il prolonge la cour de récré.

    SophieReynal : #HECFE Les réseaux sociaux, c'est la médiatisation de soi. Elle peut être à but professionnel aussi

    Bank_Able: "Les reseaux sociaux: entre identite reelle et identite sublimee" @versac#HECFE

    SophieReynal : #HECFE Vous hésitez à investir les réseaux sociaux? Oubliez l'e-réputation, pensez au formidable réseau d'entraide possible @versac

    Bank_Able : "Les reseaux sociaux, une realite augmentee" @versac#HECFE

    Bank_Able : "Aux bouts du spectre: d'un cote, Identite reelle (ex LinkedIn) de l'autre anonymite absolue (ex joueur sur WoW). @versac#HECFE

    Bank_Able : "L'enjeu de l'E-reputation = comment je deviens moi meme mon propre media" @versac#HECFE

    SophieReynal : #HECFE @mwyler c'est @versac l'orateur. Dans l'assistance 70 financiers et seult 8 twittos. L'enjeu est de décrypter pour des néophytes

    Sbretones : @Versac : comment devenir son propre media ? #usage#reseau#HECFE

    Bank_Able : "Donc, ne pas gerer cette e-reputation de maniere reactive mais proactive" @versac#HECFE

    Sbretones : @versac : utiliser le web pour jouer les liens faibles. Les liens forts, ils sont acquis. #HECFE

    vermontjf : Versac explique les #réseausociaux a partir de l'excellente typologie de Dominique Cardon http://m1p.fr/9cm#hecfe

    SophieReynal : #HECFE Le web permet de connecter entre eux des liens faibles et de les entretenir.

    SophieReynal : #HECFE Les réseaux sociaux permettent de connecter entre eux les liens faibles et de pouvoir les activer rapidement

    Sbretones : Ceux qui vont envoyer des cartes de voeux cette année pourront avoir une pensee pour Versac. #justhasbeen

    Bank_Able :. @versacfait la pub d' @adelaigue..:) #HECFE

    Bank_Able : Soit on utilise Twitter pour mediatiser son travail, soit pour se mediatiser soi. @versac#HECFE

    SophieReynal : #HECFE vous pouvez utiliser Facebook à titre pro : tout le monde y va, ou LinkedIn pour montrer son expertise , ou twitter pour se connecter

    Bank_Able : "En matiere de reseau, de l'importance de penser en dehors de son cercle pur" @versac#HECFE

    SophieReynal : #HECFE 40% de l'activité de twitter, c'est du partage de lien. De la recommandation.

    Bank_Able :. @sbretones questionne l'impact de nos "erreurs" dans nos tweets @versac#HECFE

    Bank_Able :. @versac: pour gerer nos "erreurs", etablir des relations de collaboration avec son reseau. Creer l'echange, pas une publication #HECFE

    vermontjf : Versac nous modernise et nous fait passer de "je pense donc je suis" a "je linke donc je suis" #hecfe

    Bank_Able  :.@versac nous encourage a 1. Emettre 2. Creer un blog dans nos domaines d'expertise/interet 3. S'ouvrir a d'autres sujets #HECFE

    Bank_Able : On l'attendait... @versac nous parle de @Maitre_Eolas#HECFE

    vermontjf : Courageux Versac, évangéliser des directeurs financiers aux #reseauxsociaux, c'est une vrai mission de service public #hecfe @versac

    SophieReynal#HECFE Faut-il blogger/twitter sous son vrai nom ou sous un pseudo? Les 2 mon général! Cela dépend si c'est à but pro ou juste pour échanger

    Bank_Able:. @versac nous recommande de twitter sous nos vrais noms SI on souhaite en tirer un benefice professionnel #HECFE

    Sbretones: @versac : eloge de mon amie @SophieReynal et de son activite #Twittos, ou elle met toute sa personnalité. #tellementvrai

    SophieReynal : je Twittrougis …

    Maitre Eolas : @Bank_Able @versac En bien j'espère.

    Sbretones : Recette de @versac : Créer un reseau, l'animer, l'activer.

    Bank_Able : @Maitre_Eolas "mon tres bon ami": vous le prenez comme vous voulez:) . PS: en vrai, c'etait sur les raisons de votre anonymat. @versac

    Sbretones : Versac aux financiers d'entreprise (Decryptage pour les nuls) : "vous n'etes que ce que vous racontez".

    Sbretones : #mercrediconfession : j'ai ete tellement passionnee par la conf de @versac que j'en ai partagé que 1%.

    versac: Diner. #rdg / interruption pour cause de #hecfe#hec_fe désolé.