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  • Comm fi et valeur d'entreprise, le 22 mai 2012

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    Publié dans Hommes et commerces :

    Une cinquantaine de participants ont assisté le 22 Mai dernier dans les locaux du cabinet Salans à Paris (que nous remercions chaleureusement pour son accueil) à une conférence sur le thème « communication financière et valorisation d’entreprise ». Jack Aschehoug (H 72) animait le débat entouré de Pascal Bantégnie, directeur des relations investisseurs du groupe Safran, Eric de Bodard (H 72), directeur général délégué de Moody’s France, Pierre Nebout, gérant de portefeuille chez LCF-Rothschild et Muriel Goldberg Darmon avocate au  Cabinet Salans.

    Les principaux points abordés ont été les suivants :

    1° La  communication financière = contrainte ou politique ?

    Historiquement la « comfi » a d’abord été une contrainte règlementaire obligeant les sociétés cotées en Bourse à publier régulièrement leurs comptes ; la fonction n’a vraiment pris son essor que dans les années 90 = vague de M&A, essor des marchés financiers et des agences de notation, souci de mieux valoriser l’entreprise … des départements spécialisés ont donc été créés dans les grands groupes (taille 3 à 15 p.)

    Il y a donc une politique volontariste assumée par les grands groupes, toutefois de fortes contraintes pèsent encore sur la fonction car la réglementation est de plus en plus lourde.

    2° La  communication financière = simple information ou story telling ?

    Le bon équilibre des messages de « comfi » est délicat à trouver :

    La « comfi » doit adapter son discours aux différents interlocuteurs : grand public, presse, analystes financiers , investisseurs, agences de notation … tout en garantissant la bonne cohérence et l’égalité de traitement (pas d’information privilégiée) sans divulguer d’informations trop sensibles , la « comfi » doit valoriser la cohérence de la stratégie retenue par l’entreprise ; un argumentaire détaillé est donc nécessaire, la langue de bois doit être évitée à tout prix

    3° Les principaux outils & moyens de communication financière

    La « comfi » à ses débuts s’appuyait essentiellement sur les communiqués de presse et la réunion de l’AG annuelle

    Les medias ont accompagné la mondialisation des marchés et on privilégie désormais le site WEB, les « roadshows » avec les investisseurs  (Londres, New York…) et des réunions périodiques groupées avec les analystes financiers qui suivent la valeur

    Les réunions «1 to 1» sont aussi possibles par ex avec une agence de notation, mais il faut prendre garde au risque de délit d’initié qui pourrait déclencher une enquête de l’Autorité des Marchés Financiers !

    4° Comment gérer au mieux les « mauvaises nouvelles » ?

    Une « bad news mal annoncée » peut déclencher une spirale baissière terrible car le management perd alors toute crédibilité vis à vis des opérateurs financiers qui ont horreur d’être cueillis à froid !

    Il faut surveiller régulièrement le « consensus du marché » (moyenne des estimations de résultat des analystes financiers) qui doit rester proche des prévisions de l’entreprise

    La révision en baisse des notes des agences de notation qui naguère déclenchait de grosses paniques est maintenant beaucoup mieux encadrée (phase de mise en surveillance, délai d’avertissement de 12 h…), ce qui permet de mieux préparer la « comfi »

    Conclusion des intervenants / questions de l’assistance

    Malgré une réglementation accrue il reste encore des zones grises , donc l’entreprise doit conserver une grande traçabilité de sa « comfi » plusieurs années en arrière en cas d’enquête, la documentation doit donc se préparer en temps réel !

    Il faut privilégier la cohérence « long terme » des messages et donc échapper à la « comfi » trop court terme 

    Le PDG est leader de la « comfi », il  y consacre en général un temps important (en particulier, au moins 10 j /an rien que pour les roadshows) ; pour le DF le suivi est quotidien (cours de bourse, presse, analystes) en liaison avec son équipe 

    La « comfi » est également de plus en plus utilisée en interne (réunions de management…)

  • Live Tweet de la manifestation "Actu emploi" du 11 avril 2012

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    @sbretones : Actu du marché de l'emploi en finance d'entreprise : crise ou pas crise ? C'est mnt sur le fil @HEC_FE. #HECFE

    @HEC_FE : Actualité de l'emploi dans la finance d'entreprise à l'association HEC ce matin avec 4 professionnels

    @sbretones @HEC_FE : Lancement de la conf "actualité de l'emploi en finance d'entreprise : crise ou pas crise". #hecfe. Veronique Ehrhard on stage, anime débat.

    @HEC_FE : En présence de Michael Page, Enjeux et dirigeants, Transitions plus, et Danone

    @HEC_FE : Les secteurs qui recrutent le plus en finance d'entreprise: industrie, activités informatiques, e-commerce

    @HEC_FE : En 2012, le marché est légèrement supérieur pour la finance d'entreprise qu'en 2011. Michael Page

    @HEC_FE : La priorité est au recrutement de profils"seniors" 5 à 20 ans d'expérience

    @HEC_FE : Pénurie dans les métiers techniques : consolidation, trésorerie, analyse financière d'entreprise (business plans, modélisation)

    @HEC_FE : Des opportunités aussi en Bid Management, contrôle de gestion industriel et contrôle de gestion projets selon Michael Page

    @sbretones : Les candidats "plug and play"... ie, Entre 5 et 20 ans d'expérience. Je me demande si cela intègre un peu de clonage .... #HECFE

    @sbretones : Selon M. Page : les métiers pénuriques auj. en FE : la consolidation, la tréso, l'analyse fi. #HECFE

    @sbretones : Aussi métiers proches des opérations : Contrôle gestion industriel, projet, program, bid mgt. Pb : financiers peu mobiles province. #HECFE

    @HEC_FE : Le cash et la maîtrise des systèmes clés dans les compétences techniques attendues

    @HEC_FE : Des recrutements de financiers d'entreprise en permanence mais avec une concurrence très forte les entreprises ont le choix...

    @HEC_FE : La meilleure façon de trouver un job en FE, l'approche réseau

    @HEC_FE : Des opportunités pour les 35-40 ans davantage que pour les cadres dirigeants

    @HEC_FE : Les "seniors" >50 ans trouvent majoritairement par le réseau

    @HEC_FE : La conférence de ce matin c'est aussi comment garder son job #hecfe

    @HEC_FE : Les situations de crise quand on est en poste : la stagnation, la surpression (burn out) #hecfe

    @HEC_FE : Gérer une crise de carrière c'est accepter de se confronter à l'inconnu #hecfe

    @sbretones : "Le business partner c'est celui qui connaît les opérations, les métiers de l'entreprise, il y en a finalement pas tant que ça". #HECFE

    @sbretones : De l'attrait de la finance d'entreprise pour de nombreux banquiers en ce moment ... #jdcjdr #hecfe

    @sbretones : Tendance : Du lièvre du candidat externe pour justifier ou valoriser un candidat en interne. #Recrutement. #hecfe

    @sbretones : "La notion de business partner s'applique mnt à toutes les fonctions support". #hecfe

    @HEC_FE : Mieux vaut être hors poste, bien dans ses baskets et chercher un emploi que "mal en poste", en recherche #hecfe

    @sbretones : Ce matin, j'ai pas pu finir mon LT #HECFE, alors voilà la suite .... Quel %age de clonage dans le profil ideal du candidat "plug & play" ?

    @sbretones : Réponse : fonction du métier en FE. Pour un CFO, en ce moment, c'est dur de changer de secteur .... #HECFE

    @sbretones : Et pour un expert, c'est dur de changer d'expertise, mais pas de secteur, surtout si profil pénurique .... #HECFE

    @sbretones : Et pour les postes type COG projet /grands programmes ... profils plus généralistes, polyvalents, c'est assez ouvert #HECFE

    @sbretones : "CV n'est pas un job description, il doit parler de vos réalisations, refléter vos singularités". Johann van Nieuwenhuyse @michaelpagefr

    @HEC_FE : Merci à Johann van Nieuwenhuyse Manager Senior Practice Finance de @michaelpagefr, Lise-Marie Grandjean associée Enjeux et dirigeants 1/2

    @HEC_FE : Merci à Domitlle Tézé, Fondatrice Transition +, Claire Fradet, DRH fonction Finance & Juridique Danone pour leurs témoignages #HECFE

     

  • Actualité marché de l'emploi en finance d'entreprise, 11 avril 2012

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    Nous étions plus de cinquante réunis lors du petit déjeuner carrières du 11 avril sur le thème du contexteactuel du marché des métiers de la finance d’entreprise, à travers le regard des spécialistes du recrutement et de la gestion de carrière :

    Premier point commun, les intervenants ont été d’accord pour reconnaître qu’aujourd’hui, les recruteurs cherchent surtout des profils « plug&play », très rapidement opérationnels.

    Ensuite, ils remarquent  tous que le métier des financiersévolue à tous les niveaux vers une fonction proche des opérations de « business partner ». En particulier, le DAFest plus que jamais tourné vers un rôle « au service» des opérations, avec des qualités personnelles de communicant, qui prennent autant d’importance que les expertises techniques. Quant aux contrôleurs de gestion, on leur demande de jouer le rôle de  gardien des coûts/rentabilité en proximité des opérationnels (Ventes, R&D, Marketing…).

    De manière plus spécifique :

    Le point de vue du recruteur : Johann van Nieuwenhuyse, Directeur Senior Practice Finance - Michael Page International

    Selon les recrutements en cours chez MP, les besoins en Finance d’Entreprise sont sur une tendance légèrement positive comparée à la stagnation des deux derniers trimestres de 2011. Cela rejoint la dernière étude APEC réalisée sur Q42011 qui montre que les financiers d’entreprise sont bien placés en termes de prévisions de recrutement par fonction, arrivant en 3e position (21% des intentions d’embauche), derrière les métiers opérationnels de commerce/ vente et de la production, et au même niveau que les métiers informatiques.

    Les secteurs qui recrutent le plus sont l’industrie, les services informatiques et l’e-commerce. Le conseil et le service BtoB ainsi que la banque de détail (profil 35 ans) continuent à être actifs et l’immobilier et la construction semblent redémarrer.

    Les profils les plus recherchés sont le contrôleur de gestion projet, le contrôleur de gestion industriel, l’analyste financier capable de construire des business plan et un nouveau métier : le BID management qui ouvre en outre vers les métiers opérationnels (Direction Commerciale ou de Business Unit). A noter également la montée en puissance du contrôleur de programme international (exp 10-15 ans) qui arrive à des niveaux de rémunération proches de ceux d’un DAF (100-150K€).

    Il ya aussi des profils  en pénurie, soit pour des raisons de technicité (ex : le consolideur ou le trésorier) soit pour des raisons de mobilité géographique Paris/province (ex : le contrôleur de gestion industriel).

    Concernant les jeunes diplômés, les recrutements sont en baisse au Q42011 en raison de l’incertitude sur la conjoncture économique. Les postes habituellement ouverts aux jeunes diplômés sont ceux d’auditeurs internes ou externes, ceux de contrôleur de gestion central sont moins nombreux.

     

     Le point de vue de l’outplacer : Lise-Marie Grandjean, Associée - Enjeux & Dirigeants

    Si on regarde le marché de la finance d’entreprise, les flux de recrutement restent  permanents et sont plus ou moins alimentés. En revanche, du fait du grand nombre de profils disponibles actuellement, la concurrence est très forte. Chacun doit donc absolument chercher à se différencier  en mettant en avant ses talents spécifiques.

    Plus en détail, en 2011 le dynamisme du 1er semestre s’est ralenti durant le 2e semestre. 2012 se caractérise pour le moment par un certain attentisme avec cependant des jobs ouverts partout-sauf dans le secteur bancaire. En Finance d’Entreprise il y a quelques créations de postes. Les recrutements ouverts sont souvent conclus en interne même après une recherche en externe ou le sont par réseau. Cette dernière démarche est donc à privilégier (elle représente  plus de 70% des recrutements en moyenne et presque 100%  pour les plus séniors et les DGs ).Mais « faire du réseau » est un « job à plein temps », avec un rythme recommandé de 5 RV par  semaine. A ce rythme, le temps pour se repositionner à partir du moment où la démarche réseau est engagée est de 6 mois en moyenne, plus court pour les jeunes et plus long pour les plus expérimentés.

    Actuellement, compte tenu des processus de recrutement qui se raccourcissent, être immédiatement disponible est un atout. Par contre, il faut lâcher l’idée que l’on peut à la fois changer de métier et d’entreprise en période de crise économique.

    Enfin, quelques conseils pour  garder son job : bien valider les attentes de votre N+1, aller à la rencontre des opérationnels, chercher à se former continuellement, continuer à développer son réseau ….et aussi : garder un bon équilibre personnel « Mens sana in corpore sano »!

     

    Le point de vue du Management de crise de carrières :Domitille Tézé, Fondatrice- Transition +:comment gérer une crise de carrière ?

    L’environnement des métiers de financiers est de plus en plus sous pression, avec des effectifs et des équipes en réduction et une augmentation des exigences de reporting. Les professionnels de la Finance d’Entreprise, comme les autres, auront donc à gérer plus de « crises de carrières » dans leur parcours.

    Mais une crise de carrière n’est pas uniquement être en train de quitter un emploi. C’est aussi ne pas être bien dans son job, se poser des questions, être dans un « trou d’air » ….Crise ou « trou d’air », l’important est d’adopter une démarche proactive car « L’inaction est aussi une action » qui aura de toute manière des effets sur votre évolution dans le poste, et même en temps de crise, où les opportunités  sont moindres, mais où les candidats prêts à s’exposer sont également moins nombreux, il y a avantage à agir.

    En cas de séparation, l’action ne se limite pas à gérer les aspects financiers : gérer une séparation, c’est d’abord la gérer sur le plan psychologique ; ensuite sur le plan matériel et professionnel. Et, tourner la page du poste précédent dans de bonnes conditions est un accélérateur certain pour la recherche, crucial pour rester en dessous des 6 mois, délai au-delà duquel le regard des recruteurs peut changer.

    Quels sont les pièges  à éviter ? : rester dans un poste qui ne nous convient pas et chercher un nouveau poste en même temps ou, pire encore, prendre un nouveau poste « en attendant » et chercher en parallèle… Dans l’une ou l’autre de ces situations, il y a fort à parier que ni la tenue de poste ni la recherche ne seront couronnés de succès.

    En conclusion, aujourd’hui les crises de carrière ne doivent plus être vécues comme des accidents de parcours,  mais doivent être gérées comme des moments inévitables dans des carrières qui sont moins rectilignes que celles de nos aînés.

     

    Le point de vue du DRH : Claire Fradet, DRH fonction Finance & Juridique Danone

    Le métier du financier d’entreprise évolue d’un rôle support à un rôle de « business impact ». Le groupe Danone attend de ses financiers qu’ils soient de vrais « contre pouvoirs » face aux opérations. Pour cela, ils doivent non seulement maîtriser les aspects techniques de leur job, mais aussi avoir une connaissance approfondie du business . En particulier, l’expérience en contrôle de gestion usine est recommandée dans un parcours où il leur est demandé de changer de poste (métier, BU, pays) en moyenne tous les 3 ans  In fine, ils seront capables non seulement d’analyser les faits mais aussi de proposer des stratégies ou des hypothèses alternatives.

    Chez Danone, les recrutements de profils expérimentés se font essentiellement à partir du vivier interne. Les recrutements externes sont réservés à des profils juniors ou des profils expérimentés apportant une technicité ou une compétence  particulière: profils de la banque pour le  M&A, consolidateur, origine ou expérience des  pays émergents.

    Le DAF doit mettre en avant ses qualités personnelles : finesse et impact dans sa capacité à convaincre. Le profil idéal de DAF doit combiner : technicité, orientation business et leadership.

     

    Session Q&A :

    Facteurs de succès pour décrocher un poste : être actif sur les réseaux sociaux pour montrer votre savoir être (cf dimension de communication évoquée plus haut), montrer sa singularité en complément des « must have » pour vous différencier face à une demande forte de clonage,avoir une démarche active auprès du réseau et rester très ciblé par rapport aux annonces de postes : ne répondre qu’à celles qui vous correspondent vraiment.

    A noter que le changement de métier est possible, mais plutôt en début de carrière.

    Comment montrer ses capacité de Business Partner/ Leadership dans le CV ?: mettre en avant ses réalisations, présenter un projet clair avec 3-4 mots clés.

    Tendances rémunération : la plupart des candidats garde une rémunération cohérente avec celle de leur précédent poste, si rémunération à -10/20% essayer de négocier à l’avance le principe d’un bilan au bout de 6 mois.

  • Drink immatériels, 07 février 2012

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    Le 7 février dernier, dans l’ambiance conviviale du bar à vins le 7 bis, nous étions, une trentaine de financiers d’entreprise réunis autour de Jérôme Julia, Directeur Associé chez Kea& Partners et co-auteur de l’ouvrage « Les Immatériels Actifs » (éd. Du Cherche Midi oct. 2011) et de Muriel Roquejeoffre, Directrice Financière Groupe MW Brands, venue témoigner de sa pratique de l’immatériel en entreprise.

    Jérôme et Muriel ont partagé avec nous les 7 idées force pour faire des immatériels de l’entreprise des leviers de différenciation et de croissance :

    N° 1 : Les actifs immatériels sont une source de singularité et de création de valeur

    Capital humain, organisationnel, et relationnel, il s’agit d’actifs particulièrement résilients, actionnables, et efficaces

    N° 2 : C’est le lien entre les actifs immatériels qui crée de la valeur

    La vision stratégique d’une entreprise peut être construite autour de 3 à 5 systèmes d’actifs immatériels

    N° 3 : Le résultat d’exploitation immatériel (ReXi) mesure la valeur additionnelle créée

    Le Rexi est une prime de singularité alimentée majoritairement par dépenses sur immatériel. L’identifier permet d’orienter l’investissement

    N° 4 : La Due diligence immatérielle implique de nouveaux savoir- faire à combiner

    Diagnostic culturel, étude sémiologique et historique de l’entreprise… de nouvelles approches pour mieux cerner l’ADN de l’entreprise, source de ses futurs cash flow

    N° 5 : Piloter autrement : nouveaux tableaux de bord pour le dialogue manager – actionnaire

    Encourager l’entreprise à raconter sa véritable histoire, sensibiliser les managers pour qu’ils délivrent du résultat mais laissent l’entreprise en bon état

    N° 6 : Maitrisez le cœur de métier immatériel de votre entreprise !

    Ne pas rompre avec son écosystème de production et d’innovation, cela ne coûte pas si cher que ça, et ça peut éviter de détruire de la valeur

    N° 7 : Les « immatériels actifs » sont une opportunité pour mettre en mouvement l’entreprise

    S’occuper de l’immatériel c’est avant tout reconnaître les porteurs d’actifs, et s’assurer de la vitalité des contributions de chacun

    A très bientôt pour un nouveau Drink ! Isabelle Loupot (M 03)

     

     

     

  • "Cash is King", avec Philippe Messager, le 23 novembre 2011

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    « Cash is king »  Un métier au cœur des préoccupations actuelles des entreprises : Trésorier

    Le cash est un des baromètres les plus révélateurs de la santé financière des entreprises.  Dans la conjoncture actuelle et sous la pression accrue des agences de notations, c’est l’ensemble de la communauté financière qui se penche sur les sujets de liquidité et d’accès au crédit.

    Dans ce contexte Philippe Messager (H. 80), Directeur des Financements et de la Trésorerie de EDF et Président de l’AFTE (Association Française des Trésoriers d’Entreprise), partagea son expérience et ses préoccupations. 

    Il parla du métier de Trésorier d’Entreprise: son évolution et ce qu’il recouvre aujourd’hui, son rôle au sein de la Direction Financière, sa contribution au déploiement de la stratégie de l’Entreprise, ses enjeux au regard de la crise actuelle et des nouvelles règlementations

     

  • Lancement de Fi+ Alumni, 12 octobre 2011

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    Nous avons lançé le 12 octobre dernier, Fi+ Alumni, le Club des clubs des Financiers d’entreprise réunissant la  DFCG (Association des Directeurs Financiers et Contrôleurs de Gestion) et les Clubs Finance des Associations d’Ecoles et Universités de : Audencia, Centrale Paris, Dauphine, Edhec, ESCP Europe, HEC, IAE Paris, INSEAD, ISG, Panthéon Sorbonne, Reims Management School.
    A cette occasion, nous avons débattu sur le thème  "quelle vision ont les dirigeants du rôle et du métier du directeur financier ? " autour de Frédéric Cacheira, PDG du groupe Delsey, Jérôme Grivet, DG de Crédit Agricole Assurances, Louis-François Gombert, DG d'Européenne d'Embouteillage, et  Sandra Le Grand, Présidente Directrice Générale de Canal CE et Vice Présidente de Croissance Plus.

    Nous avions choisi des témoins évoluant dans des secteurs différents, la taille et la maturité de leurs entreprises ou groupes étaient également très variées. Quant aux structures capitalistiques, ces entreprises représentaient un groupe coté, un LBO, une filiale de grand groupe, et une start-up ayant ouvert son capital.

    Nos intervenants reflétaient également une diversité de profils et parcours professionnels, tout autant que de caractères. Quelques idées débattues : Louis-François Gombert confirma à l’auditoire le rôle élargi du directeur financier « au-delà de l’expertise technique dans laquelle on voudrait l’enfermer », alors que Frédéric Cacheira plaça le directeur financier plus en retrait, « en bout de course ». Sandra Legrand souligna quelques difficultés particulières pour le directeur financier de PME : « savoir épouser la courbe d’exploitation, la croissance », savoir « jongler avec la flexibilité et la rigueur », et à propos des financements : « être créatif  (…) pour faire rentrer dans des grilles des concepts qui n’y étaient pas ». Jérôme Grivet évoqua la contribution essentielle du directeur financier à la stratégie, et jugea qu’un « bon directeur financier est dans l’anticipation ».

    Le directeur financier peut-il devenir directeur général ? A cette question, nos intervenants soulignèrent en particulier, la nécessaire orientation client et pour l’attrait pour le management, sachant que manager des commerciaux est très différent du management de contrôleurs de gestion !